La tour Saint-Jacques de l’abbaye de Bonneval
Une religieuse au pied de l'escalier donnant accès la tour (Copie d'écran de la photo de MAXIME FRAISSE POUR LE PÈLERIN)
L’abbé Bousquet, curé de Buzeins et historien de Bonneval fut le premier à s’intéresser aux ruines de cette abbaye qu'il présente dans son ouvrage Notice historique sur l’ancienne abbaye de ND de Bonneval, Aveyron (Espalion, 1850, p. 45.). Mais il n'y mentionne aucune tour Saint-Jacques..
Il tenta en vain d’y intéresser des monastères d’hommes.
Ce furent des religieuses cisterciennes trappistes qui ont relevé les ruines à partir de 1875. En 2001-2002, elles ont ouvert un gîte dans une ancienne tour médiévale, la tour d’Armagnac, du nom des comtes d’Armagnac et de Rodez. Elles ont repris l’ancienne coutume d’hospitalité (un à trois jours) mentionnée dans leur cartulaire :
La tour d'Armagnac a perdu son nom historique (sans doute oublié) pour une dénomination moderne qualifiant sa nouvelle affectation. Cet exemple montre l'intérêt du travail entrepris par l'IRJ pour retrouver " la micro histoire " de chaque étoile du patrimoine Saint-Jacques.
Il tenta en vain d’y intéresser des monastères d’hommes.
Ce furent des religieuses cisterciennes trappistes qui ont relevé les ruines à partir de 1875. En 2001-2002, elles ont ouvert un gîte dans une ancienne tour médiévale, la tour d’Armagnac, du nom des comtes d’Armagnac et de Rodez. Elles ont repris l’ancienne coutume d’hospitalité (un à trois jours) mentionnée dans leur cartulaire :
« La porte était toujours ouverte aux pèlerins, aux voyageurs, que la piété, la curiosité ou l'ignorance des chemins y conduisaient. Les moines accueillaient les étrangers comme Jésus-Christ lui-même ».
La tour d'Armagnac a perdu son nom historique (sans doute oublié) pour une dénomination moderne qualifiant sa nouvelle affectation. Cet exemple montre l'intérêt du travail entrepris par l'IRJ pour retrouver " la micro histoire " de chaque étoile du patrimoine Saint-Jacques.
Ainsi vivent les « étoiles » du patrimoine jacquaire.

